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Une âme effarouchée
8 janvier 2017

De l'amitié et de l'amouuuuur

Il faut ne pas voir ce que l'on perd, mais chercher ce que l'on peut gagner avec l'absence de l'autre.
J'ai peut-être cherché sur un forum ce qui ne me correspond pas, et ce dont je n'ai plus besoin.
Je gagne du temps, de la frustration évitée, ...
On ne peut contraindre les gens à la sagesse, il faut qu'elle vienne à eux.
Les gens ne veulent pas de conseils ni de solutions à leurs problèmes.
Ils veulent avant tout se faire plaindre, j'appelle ça le syndrome de Calimero.
Ce n'est pas une "écoute" dont ils ont besoin mais d'un pot de chambre, capable de recevoir les étrons de leurs pensées ou chouineries.
"J'ai d'autres problèmes"
Ça veut dire : je souffre mais je ne me plains presque pas, admire moi et demande moi quels sont ces problèmes.
Bof, mon mantra est désormais d'éviter les gens à problèmes, autrement dit les casse couilles.
Car tout le monde a des "problèmes" mais n'en est pas pour autant un(e) mec/fille à problèmes.
Bref, je m'en cogne de tes petits soucis.
Tu sais ce qui est drôle avec toi?
Rien du tout, malheureusement.
Je préfère aimer un petit nombre sincèrement, que tout le monde hypocritement.
Quand j'aime une fleur, pas envie de l'arracher pour la faire mourir chez moi dans un vase.
Je la préfère en vie et en son milieu.
Pour toute occasion ou évènement, prendre du recul, de la hauteur :
Cela est il vraiment grave?
Est ce irréversible?
Ne puis je en tirer aucun bénéfice inattendu?
Est ce que cela m'empêche de vivre ICI et MAINTENANT?
Être heureux, voilà la preuve d'intelligence ultime.
Si tu me juges coupable,
Il en est fini de notre relation,
Non point par mesure de rétorsion,
Mais parce que tu ne mérites pas mon estime intellectuel.
Pas d'amitié, de réelle amitié sans estime de l'autre et de soi, dans une relation d'égal à égal, sans jouer le               st  Bernard ni le leader syndicaliste.
Être tout simplement, est ce trop demander?
Choisir les êtres qui constelleront ma vie, 
aidera à choisir le contenu et l'intérêt de ma vie
Ne plus m'imposer seulement ce qui vient à moi,
En toute chose, me laisser le choix
L'autre n'est qu'une version différente de moi même, et ces différences tiennent avant tout au hasard.
Accepter l'impermanence, non par goût personnel ou par choix métaphysique, mais parce que cela est, tout simplement, et qu'un jour plus rien ne sera.
Ne pas juger en terme de bon ou mauvais, mais se demander en quoi la réalité actuelle peut être bénéfique ou novatrice et intéressante pour moi.
Chercher des plus values existentielles, y compris dans les jardins des "ennemis" potentiels.
"Le remords est comme la morsure du chien sur la pierre : une bêtise", Nietzsche
What drives me to you is what drives me insane.
Il faut être comme l'eau.
Lao Tseu
Ne pas imposer aux autres ses états de conscience, sinon ils se sentent humiliés et cherchent à te disqualifier.
Ego = caprice.
Plus on fait de lois, plus il y a de gens qui les enfreignent.
Souviens toi d'oublier!
Moi je dois bien supporter la présence de grognasses qui passent apparemment plus de temps à se manucurer les ongles qu'a se rafraîchir le cerveau.
Quand tu passe ton temps, le nombril à te regarder
Et que de surcroît celui-ci est bien piercé,
Sois sûr que tu es une salope fieffée.
Un physique quelconque, un intellect et une personnalité quelconques : mon intérêt pour toi est fort logiquement quelconque.
Pour soulager une ou deux crampes matinales, en tant qu'etui pénien, pourquoi pas.
De là à payer apero resto taxi, à me fatiguer en préliminaires, pour finir par enfourner péniblement une demie molle guère motivée dans un conduit vaginal bouchonné, non merci, j'ai déjà donné.
Y a sûrement mieux pas loin, pour toi comme pour moi.
Au revoir et bonne journée.
La Boétie s’attache a démontrer que de petites acceptations en compromis et complaisances, la soumission en vient à s’imposer à soi tel un choix volontaire fait dès les premiers instants.
L'ennemi a autant de mains parce qu'on lui offre les nôtres.
Vouloir la liberté.
Ne pas lui prendre, mais seulement ne plus le tenir, ne plus rien lui donner.
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