Je aime

I love life, j'aime la vie...

Comment peut-on affirmer cela puisque nous ne connaissons pas la non-vie?

Si ça se trouve, c'est encore mieux.

"J'aime la vie mais je préfère la mort" sera le total look de la rentrée 2017/18.

Et surtout, ne souriez pas!

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Malgré son expérience des choses passées et présentes, il continue de croire qu'on lui a donné la vie.

Il n'a toujours pas intégré le fait qu'elle ne lui était que prêtée, et que tôt ou tard il lui faudrait la rendre.

Comme un déguisement ringard loué pour un bal de fin d'année et qu'il faudra bien restituer.

Les vieux sont indignés par la mort car ils jouissent de l'existence depuis si longtemps qu'ils ont oublié qu'il est possible de ne plus être.

Ils sont tant restés usufruitiers de la vie qu'ils s'en croient plein propriétaires.

Les jeunes regretteront, eux, de ne pas avoir eu assez de temps; ne sachant pas encore que le temps à disposition peut autant être torture que délectation.

Il est également impossible de sauver la vie de quelqu'un, on le prolonge tout au plus.

Et c'est déjà bien assez cruel comme ça.